Notre Babillard
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Le site Cultures au coeur migre!...
l'adresse culturesaucoeur.org, bien connue déjà, vous y conduit.
Pour un temps, cette version-ci du site conserve les données antérieures à juillet 2019.
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«Mon pays d'amour, je te cherche partout...» dit la magnifique chanson «La langue de nos âmes», présentée tout récemment dans une Nouvelle du site Cultures au coeur.
Se chercher un pays: n'est-ce pas un rêve progressif de tous les peuples: comme des adolescents, se retailler un vêtement à la mesure de leur stature et de leurs mouvements d'aujourd'hui?...
Pensons au rêve de tous ceux qui ont foulé notre sol, qu'on appelle aujourd'hui le Québec: nos Premières nations, venues d'Asie... nos premiers colons, venus d'Europe... Les Quécois de la Révolution tranquille...Et de date plus récente nos migrants, venus de Colombie, d'Haiti, du Bouthan, ou de Syrie...
Aujourd'hui, les images d'espoir de milliers de gens traversant le Mexique à pied éclatent sur nos écrans de télévision et d'ordinateurs.
Qu'en ferons-nous? Leur cri saura-t-il nous rejoindre?... Nous sentirons-nous concernés davantage qu'aux nouvelles du soir sur nos téléviseurs?...
Aider des gens à revenir chez eux... En aider d'autres à se faire un chez-eux parmi nous...Faire pays à notre taille d'aujourd'hui... Ça va nous demander de refuser d'avoir peur des autres, de nommer plus que jamais ce que nous avons en commun comme être humains.
Ce chantier d'avenir est déjà commencé, nous sommes en marche de créer un nouveau sentiment d'appartenance planétaire. Nous nous sentons à l'étouffée dans des frontières façonnées pour hier.Comment pourrions-nous en faire éclater quelques-unes au cours de la prochaine année?...
Les rêves d'une collectivité ne sont pas différents des rêves que font les milliers de personnes qui la composent. J'ai éclairé ailleurs les contours de la visualisation créatrice: Visualiser un «déjà là». J'y crois beaucoup, personnellement. Peut-être aimerez-vous y jeter un coup d'oeil, écouter de l'intérieur ce qu'elle vous suggère pour la prochaine année de notre communauté humaine...
Avec tous ceux et celles qui contribuent à faire de l'expérience Cultures au coeur un foyer de rapprochements créatifs, je nous souhaite un 2019 à la hauteur de nos soifs les plus souterraines,
Denis Breton
Québec est-il pour vous un héritage?... une nouvelle étape de vie?...
Vous êtes déjà en contact avec une personne de culture différente de la vôtre, ou vous aimeriez l'être?...
Que diriez-vous, ensemble, de dire en photo ce que vivre à Québec représente pour chacun de vous?...
Voici un projet tout simple, porte-bonheur.
Les inscriptions ont débuté.
Vous pouvez vous inscrire à deux — d'origines culturelles différentes! — ou vous inscrire en solo, alors nous vous proposerons quelqu'un pour faire équipe avec vous.
Pour vous inscrire, ou obtenir plus d’information:
Contactez Myriam Loudahi au 581-748-4756. Ou par courriel:
info@associationgrandir.com
Pour en savoir plus sur Association Grandir
Boucar Diouf accueille à sa table des Québécois d'adoption qui vont vous en parler. Ils originent de la Colombie, du Sénégal, du Liban, d'Haiti, du Vietnam, Syrie, Israël, Corée du Sud ...et d'ailleurs encore.
Du chaud dans notre froidure, des fou-rires et de l'exotisme... de quoi réunir à la même table le cadeaux qu'ils nous ont fait d'eux-mêmes et de leurs traditions :
https://ici.radio-canada.ca/premiere/premiereplus/societe/1426/monpremiernoelaucanada
L'équipe Cultures au coeur
Noël et l'An nouveau célèbrent notre rêve d'une fraternité universelle.
En guise de nos meilleurs voeux, voici une création collective réalisée à Québec.
Vous trouvez les paroles à la suite de la vidéo.
Laissez-vous toucher par cette chanson: vous l'entendrez se fredonner toute seule dans votre tête!...
Pour ne pas oublier, je me souviens
Likaï la anza wa atadzakal (mêmes paroles en arabe)
Cho fa te va ta va tso ma ni (mêmes paroles en kaya)
Mon pays d’amour, je te cherche partout
Je te vois dans tous les yeux et dans chaque jour
Nous sommes partis sans joie, fuyant la guerre là-bas
Pour arriver sous la neige et dans le froid
Y aura-t-il quelqu’un pour nous tendre les bras
Nous venons de loin, chacun porte son histoire
Du Maroc, du Rwanda, du Myanmar
Congo, Algérie, Québec ou Syrie Ensemble nous sommes ici
Par delà les océans ils arrivent Avec leurs enfants pour unique valise
Ils ont quitté leurs maisons pour les mêmes raisons
Celles qui font que le monde ne tourne pas rond
Moi qui est ici, je t’accueille sous mon toit Il me manque parfois les mots
Pour te dire comme il le faut Que cette terre en partage
Elle est à tous et sans barrage Elle s’offre à nous en héritage
Pour ne pas oublier, je me souviens
Likaï la anza wa atadzakal
Cho fa te va ta va tso ma ni
La langue de nos âmes raconte le parcours d'intégration de ces réfugiés venus de Syrie, du Congo et du Myanmar. Elle se veut également un appel à l'inclusion, à l'ouverture et au partage, au-delà des différences ethniques, culturelles ou religieuses.
Le 15 novembre 2018, À l'occasion de la 16e Semaine québécoise des rencontres interculturelles (SQRI), la Faculté de musique de l'Université Laval nous présentait l'aboutissement de ce projet de recherche et de médiation culturelle dont elle a eu l'initiative.
Son but: rendre compte à quel point la musique peut contribuer à l'intégration de nouveaux arrivants au sein de la société québécoise.
La Société Radio-Canada en a tiré ce reportage.
Pierre-Paul Racicot, un pilier de Cultures au coeur, s'est impliqué tout au long du projet. Il s'est montré enchanté de la démarche, témoignant qu'elle a débouché sur des contacts interculturels qui se poursuivent encore.
Cultures au coeur, vous le savez sans doute, n’est pas un organisme, mais une simple initiative de complicité citoyenne. C'est né dans le quartier de Vanier, à Québec, en janvier 2013, alors que je pouvais enfin sauter dans la retraite et m’y consacrer. Plus de cinq ans déjà...
Les trois premiers mois ont fait naître ce site web, qui s'adresse principalement à la Francophonie.
L'idée était de faire savourer le cadeau de nos héritages culturels variés, et d'inviter les gens du Québec de toute culture à les mettre ensemble pour créer un avenir où tous vont se reconnaître contributeurs - ce qui est l'objectif de l'ensemble de notre projet. En même temps, je souhaitais que le site devienne un outil pour aider à s'intégrer à Québec, et par son blog un espace de réflexion, de dialogue, pour prendre position socialement sur les questions liées à l'immigration chez nous.
La Ruche Vanier a permis une sorte d'expérience-pilote à notre première année, en hébergeant nos soirées-rencontres mensuelles. À chaque fois un témoin nous partageait son expérience de courage dans son parcours d’immigration, ou celle de sa générosité à soutenir des gens venus d’ailleurs.
Par la suite j'ai saisi l’occasion de nous approcher de l’Accorderie de Québec, qui manifestait le même état d’esprit: recevoir et donner.
Aujourd’hui, Cultures au coeur est devenu une sorte de pivot de son action interculturelle. Pendant ce temps, la statistique du site Cultures au coeur affiche plus de 500 000 visites. Moi qui n’ai jamais voulu faire de notre implication une question de quantité, je salue la Vie qui a plus d'un tour dans son sac...
Nous n'avons ni secrétariat ni budget, mais nous sommes entourés de tant de gens qui nous portent au coeur.
- Je veux remercier ici la Ruche Vanier et l’Accorderie qui ont fait confiance à Cultures au coeur...
- Aussi, remercier ceux qui se sont joints à moi et à nous en route: Jacques, Pierre, Olga, Emilio, Pierre-Paul, Ata et Monireh, Nour, Faustin et Mamie... et tant d'autres! - tout comme les gens qui ont participé à nos rencontres et sont souvent revenus dans la suite...
- Je tiens à remercier les gens de notre Équipe-complice, hier et aujourd'hui, de donner son visage collégial à Cultures au coeur. Le rôle de cette petite équipe devient de plus en plus central, au moment de faire le point sur notre mode d’intervention pour dessiner la suite.
- Je veux aussi saluer les groupements qui sont peu à peu devenus nos alliés dans l'animation interculturelle. Je pense tout d'abord aux amis des Premières Nations et d'autres communautés culturelles. Je pense aux amis des organismes communautaires - Vous avez vu que nous essayons de le refléter dans notre Babillard d'activités.
- Je pense enfin au magazine Les immigrants de la Capitale et à son éditeur Mihai Cristea, qui ne manquent pas une occasion de mousser les bons coups interculturels à Québec.
Eh oui! donner envie aux Québécois d’origine de s’ouvrir à la différence culturelle, et dans l'autre sens donner envie à des Québécois d’adoption de nous comprendre dans notre histoire en Amérique: c'est un chantier à plusieurs!... Disons que ça nous fait 8 millions de membres en potentiel, dont 1 million à Québec!... J'invite parmi eux tous ceux et celles non encore inscrits à notre infolettre à se faire connaître !...
Avec le recul de ces 5 ans, je pense que l’objectif qui a fait naître Cultures au coeur a fait des petits...
Et quand je regarde autour de nous l’avalanche des événements interculturels offerts à Québec par nombre d'organismes, et aussi les collaborations qui se tissent de tous côtés, j'ai confiance pour la suite de l'interculturel dans ma ville.
Une question plus récente est maintenant abordée au sein de notre équipe: sans cesser de sensibiliser notre population, l'heure serait-elle venue pour Cultures au coeur de regarder plus qu'avant du côté des familles réfugiées?... Faites-nous part de vos sensibilités sur ce terrain, tiens, et venez l'explorer avec nous...
Mais pour l'instant, si nous levions un verre au chemin parcouru...
L'occasion est bonne: nous lançons une nouvelle année d’animation lundi 24 septembre. Ça va se passer justement dans le quartier de Vanier, avec les gens du Local communautaire Claude-Martin - devenus de bons complices dans l'interculturel.
Notre nouveau Babillard va vous en donner le détail. On va garder ça simple et peu formel - comme nous aimons faire à Cultures au coeur.
Nous allons profiter de l’occasion pour visionner le film Bagages : il met en scène des jeunes et leur intégration à Montréal.
En même temps nous lancerons notre nouvelle année d’animation, qui pourrait prendre par moments la tournure de coups de main, au-delà des parlures : donner le goût de contacts interculturels plus directs, autour de réalités plus vitales encore – par exemple se faire proches de familles réfugiées...
Tout est à continuer d'inventer ensemble: vous viendrez nous rejoindre ?...
À bientôt !
Denis Breton, avec l’Équipe-complice Cultures au coeur
Il y a plusieurs raisons de fêter aujourd'hui...
Les Premières nations et plusieurs groupements écologiques célèbrent le Solstice d'été. Venez ce soir y participer!
Le Canada marque la Journée nationale des Peuples autochtones.
Et le mois de juin - déjà bien avancé! - vient souligner le Mois national de l'Histoire des peuples autochtones.
J'aime à me rappeler tout particulièrement les valeurs ancestrales que les Premières nations nous ont transmises - à nous qui étions, par nos ancêtres européens et autres, immigrants sur le sol que leurs mocassins et leurs raquettes foulaient depuis bien longtemps.
Je pense à l'amour de la nature qu'elles nous ont communiqué, jusqu'à nous présenter Gaia, la Terre-Mère, comme un être spirituel hautement évolué. Elle ne nous appartient pas, c'est nous qui lui appartenons...
Je pense au cercle, qu'on retrouve dans toutes les pratiques amérindiennes, et qui sans cesse nous parle de l'Unité de la Vie et du lien d'égalité entre tous les êtres...
Je pense à l'esprit de paix qui préside à leurs palabres, à leurs pow-wows. Aux façons de rechercher les solution aux conflits, qu'ils nous ont transmises - On reconnaît de toute évidence dans nos formules québécoises de médiation hors cours.
Je pense enfin à ce sang amérindien qui coulerait dans les veines de 60% des Québécois, au dire d'un historien Micmac - et peut-être dans les miennes...
Je voudrais saluer de façon spéciale les communautés Wendat et Innues, chez qui j'ai aujourd'hui des amis.
Je me rappelle avec bonheur ma découverte des magasins du «Village Huron» (Wendake), dans mon enfance. Depuis j'y ai toujours acheté mes mocassins, raquettes, baromètres en branche d'épinette ou bijoux en matière naturelle.
Et ce bonheur se prolonge aujourd'hui avec eux dans toute sorte de rencontres interculturelles.
Quand je pense au cadeau de nos cultures, les Premières nations viennent en premier... Merci !...
Denis Breton
Ressac dans l'ouverture des frontières aux migrants en Europe... Séparation des enfants de leurs parents aux États Unis... Explosion du nombre des demandeurs d'asile au Canada... Et nous n'avons rien vu encore des réfugiés climatiques à venir...
Quelques témoignages poignants viennent jusqu'à nous, la majorité sont gardés secrets dans les coeurs.
Récemment, une famille réfugiée d'Afrique à Québec nous partageait l'angoisse de tout le groupe de familles avec lesquelles elle a traversé la forêt tropicale, fuyant la guerre, pourchassée par des para-militaires: une gamine venait de recevoir une balle de fusil dans l'oeil. Cris aigüs... il fallait la faire taire, sinon c'était exposer l'ensemble du groupe à une mort certaine. La communauté en fuite s'est concertée: elle s'est sentie obligée de tuer l'enfant.
Oui, la situation des migrants dans le monde laisse perplexe. Ignorants de l'ampleur des drames et des besoins, nous avons vite fait de nous habituer aux nouvelles des médias.
Le Canada a fait de gros efforts ces dernières années. Il y a eu l'accueil des réfugiés syriens. Et plus récemment l'accueil des demandeurs d'asile entrés par Lacolle, au Sud de Montréal. C'est sans compter les organisations privées qui s'activent pour faire venir des familles réfugiées et les prendre en charge à leurs frais. Et les témoignages discrets d'implication, comme ce neveu à moi qui discrètement est parti s'impliquer avec Médecins sans frontière en Syrie et au Congo...
À Québec, nous vous avons parlé - et vous en reparlerons! - d'un groupe digne de mention. Ça fera 40 ans en 2019 que les gens du Comité d'accueil aux réfugiés Saint-Yves s'activent non seulement pour parrainer des familles, mais aussi les accompagner dans le concret une fois arrivées. Plus de 600 personnes ont été accueillies depuis ses débuts.
Leur programme d'accompagnants est bien pensé, bien rodé. Il est à taille humaine pour les bénévoles qui s'y impliquent. Les volontaires sont jumelés deux à deux auprès d'une famille et s'engagent pour un an. Nous avons eu récemment le témoignage de plusieurs parmi eux, unanimes à nous parler de l'amitié qui a fleuri avec leur famille parrainée et de ce qu'ils en ont eux-mêmes reçu.
Voici une illustration bien concrète de la dynamique qui se vit dans le parrainage et dans l'accompagnement de familles réfugiées: il s'agit d'un reportage audio de Radio-Canada avec Madame Lucie Trudel du Comité d'accueil aux réfugiés St-Yves.
Pour en savoir davantage, voici l'invitation pressante que nous fait le Comité d'accueil aux réfugiés St-Yves:
Accompagner, vous?...Besoin pressant d’accompagnants de nouveaux réfugiés à QuébecLe Comité d’accueil aux réfugiés St-Louis St-Yves lance une invitation pressante à toutes les personnes qui aimeraient collaborer à l’intégration pratique de familles syriennes réfugiées, récemment arrivés à Québec. «Si vous êtes en mesure d’accepter cette responsabilité si importante pour l’accueil et l’intégration des nouveaux arrivants, ou si vous connaissez dans votre entourage des personnes susceptibles d’exercer cette fonction, je vous prie de m’en informer le plus tôt possible ou à votre convenance.» Contacter : Jean Bernier : |
Il arrive que ça nous prend «une bonne raison» pour saluer un voisin.
Si souvent c'est pour un problème: le bruit, un enfant qui s'est un peu trop agité,...
Et si cette fois-ci c'était simplement pour lui dire que vous aimeriez faire sa connaissance, celle de sa famille...
Ou pour leur dire que vous appréciez leur présence dans votre paysage....
Apporter un mini pot de fleur à transplanter
Apporter un petit pot de confiture que vous avez cuisinée
Venir avec un enfant : ça cesse d'être menaçant !
Apporter un journal local, que peut-être votre voisin ne connaît pas
Apporter une tablette de chocolat à partager aux enfants
Si de part et d'autre vous avez des enfants: proposer de prendre un dessert ensemble, dehors...
Si le voisin, sa famille, semblent venir d'ailleurs - un coin du Québec ...ou de la planète:
proposer de regarder ensemble la carte de l'endroit, sur votre cellulaire...
Bonne fête des Voisins !
Denis Breton et l'Équipe-complice Cultures au coeur,
des voisins du coeur
Qu'appelons-nous «vivre» ?...
Quel avenir souhaitons-nous pour nos enfants?...
Paix... Migrants... Autochtones... Guérison de notre planète commune...
Se pourrait-il que les artisans du G7 aient des réponses qui nous concernent?...
...ou que nous en ayons pour eux?...
Le 14 avril dernier, Cultures au coeur troquait ses habituelles soirées-rencontre contre un potluck en plein soleil. Des mets dont l'idée ont fait du chemin: Iran, Maroc, Syrie, France, Québec... 22 personnes joyeusement réunies au nom de leur intérêt pour l'interculturel.
Petite surprise: les gens se sont fait inviter à manger avec «la personne la plus différente» d'eux. Tout en partageant le repas, chacun allait se faire journaliste auprès de ce 'jumeau' improvisé, et l'interviewer à propos de l'événement qu'il ou elle considérait soit le plus beau de sa vie, soit le plus inattendu, soit le plus drôle.
Une rencontre savoureuse comme ses mets, avec un micro-spectacle de jonglerie inattendu offert par 'Prof Maboule'. Et puis... ah ma mémoire s'embrouille: revenez bientôt, notre ami Pierre-Paul vous en racontera davantage...
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Un site offert par Denis Breton, Grandir Conseil, Québec
Dernière mise à jour: 7 février 2019